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Des échos de nos luttes dans la presse

Dans l'Hérault

Le projet très contesté de parc éolien à Puissalicon, au nord de Béziers dans l'Hérault, se retrouve devant le Conseil d'État. Le promoteur est bien décidé à aller jusqu'au bout des recours. Les opposants sont dépités mais ne sont pas prêts de baisser les bras.
Éoliennes au nord de Béziers : le porteur du projet n'abandonne pas (France bleu)
“Ce sont donc encore des mois de procédure et de frais pour défendre notre droit à vivre dans un environnement préservé, face à un promoteur qui dépense sans compter pour arriver à ses fins”s’inquiètent les opposants au projet de l’industriel Volkswind (filiale du leader des énergéticiens suisses Axpo).
À Puissalicon (Hérault) le vent de la colère ne retombe pas (Dis Leur Philippe Mouret)

Dans le Tarn

Dans le cadre du projet d’installation par l’entreprise VSB de 8 éoliennes dans des forêts de crête de la Montagne Noire, l’association Préservons notre montagne, qui regroupe des habitants de plusieurs communes riveraines (lire notamment notre édition du 22 janvier dernier), n’a de cesse d’exprimer son opposition à ce projet.
Éoliennes dans la Montagne Noire : l’association Préservons notre montagne dénonce un écocide (La Dépêche)

Plus de puissance, plus de nuisances et moins de contraintes pour les promoteurs

Le « repowering » à Cambon et Salvergues (34) au cœur du Parc naturel du Haut Languedoc est une escroquerie.

On nous avait annoncé que le remplacement des éoliennes industrielles par « repowering » permettrait d'en diminuer le nombre et les nuisances, tout en augmentant leur puissance. C'était un mensonge de plus. A Cambon et Salvergues (34) au cœur d'un parc naturel régional, le préfet autorise par un simple arrêté le remplacement de 23 éoliennes de 99 mètres par 23 éoliennes de 125 mètres !

Leurs rotors géants de 92m formeraient un écran mortel de 15 hectares - soit 21 terrains de foot ! - pour les nombreuses espèces protégées d'oiseaux et de chiroptères présentes sur le secteur ou migratrices. Le préfet estime sans doute qu'il vaut mieux ne rien savoir : en vingt ans l'exploitant de cette centrale éolienne, peu scrupuleux, n'a produit qu'un seul suivi de mortalité de la faune volante exploitable, et on ne lui pas demandé de respecter ses obligations !
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