

Plus de cent personnes étaient rassemblées à Rodez pour soutenir l’AMASSADA, ambiance déterminée…
Voir l’article de la Dépêche.
Les avocats de La Défense ont soulevé trois points visant à obtenir la nullité de la procédure :
- Puisqu’il sagit de la participation à un attroupement pour un motif clairement politique, donc d’un délit politique, les prévenus auraient dû être cités à comparaître et non pas convoqués.
- Dans les convocations reçues, toutes rédigées en copié-collé, il a manqué une précision essentielle à savoir la nature des faits de violence alléguée : par exemple : l’arme utilisée, s’il s’agissait d’un coup de poing ou autre, de sorte que les prévenus faute de charge précises n’ont pas été mis en situation de préparer leur défense.
- Les enquêteurs n’ont pas été mis en situation d’indépendance vis à vis de l’une des victimes, en l’occurrence leur chef hiérarchique, d’où conflit d’intérêt.
- De nombreuses autres anomalies précises ont été relevées.
Rendez-vous à Rodez le 22 avril : ce jour on saura s’il y a une décision de nullité ; sinon, l’affaire sera renvoyée sur le fond le 6 juin.
AFFAIRE À SUIVRE, DONC… LE SOUTIEN NE FAIBLIRA PAS !