Un livre dont les auteurs Marjolaine Villey-Migraine et Marcel Caron sont des animateurs d’associations et de collectifs anti-éoliens.
« Nous sommes submergés d’informations contradictoires sur la question des énergies, et avons bien besoin d’une clarification. Les auteurs font le point sur toutes les questions qui se posent sur les énergies renouvelables, et aussi, plus largement, toutes celles qui existent : si pour résoudre la question climatique, il faut abandonner les énergies fossiles émettrices de gaz à effet de serre (actuellement largement dominantes), comment s’en sortir ?
A cette question cruciale les réponses sont souvent discordantes, cacophoniques. Dans ce contexte, il est important de faire tout d’abord l’analyse de chacune des sources et des vecteurs d’énergies renouvelables la plus objective possible, ensuite de faire le point sur les possibilités de se sortir de la crise de l’énergie que subit actuellement l’humanité.
Cette démarche nous a permis à nous-mêmes, auteurs de ce livre, de perfectionner nos connaissances sur le sujet, ce qui nous a enthousiasmés. Nous espérons attiser la curiosité de nos lecteurs et qu’ils poursuivront eux-mêmes leurs recherches dans un contexte qui évolue sans cesse. «
Parmi les énergies renouvelables, il y a celles qui colonisent les médias et dont on parle beaucoup, telles que l’éolien et le solaire… Mais il y a également celles que l’on oublie et qui, pourtant, apportent des solutions durables comme les géothermies, la chaleur renouvelable – dont la chaleur fatale issue de l’industrie – ou encore la biomasse, dans certaines conditions.
L’apport de ces sources d’énergie est largement sous-estimé. Pourtant, ces dernières occupent peu d’espace, sont largement moins polluantes et peuvent participer de manière déterminante à la décarbonation des logements et de l’industrie, et ainsi faire baisser drastiquement la consommation d’énergies fossiles. C’est bien l’objectif de notre siècle, et c’est le nôtre si nous voulons survivre sur cette Terre.
Il est donc primordial de bien comprendre le problème qui se pose à nous aujourd’hui, ce à quoi ne semblent pas se résoudre les élites de ce pays – voire de ce monde – qui ne parviennent pas à définir des priorités, ni à prendre les bonnes décisions. Ces décisions pourront d’ailleurs vous paraître évidentes, après la lecture de cet ouvrage.
Militant environnementaliste, Marcel Caron est l’auteur de plusieurs ouvrages d’intérêt régional (histoire, sociologie, économie…).
Marjolaine Villey-Migraine exerce en tant que géographe et documentaliste cartothécaire, avant d’être médiatrice familiale diplômée d’État. Elle est également docteur ès sciences de l’information et de la communication. Adhérente de plusieurs associations environnementales depuis vingt ans, elle anime la commission d’un collectif de cinquante associations du nord de l’Hérault et du sud de l’Aveyron sur les énergies renouvelables.
Cet ouvrage paru aux éditions Baudelaire est disponible , pour 14€, dans votre librairie (commandez-le! ) ou par le biais de la distribution Hachette et les sites de vente Internet (Fnac©, Amazon©, Decitre©, Cultura©, Le Furet du nord© et La Place des Libraires, etc…).
Après « l’éolien en question », qui démontait la propagande pro-éolienne en France qu’il s’agisse de l’éolien en mer ou terrestre, ce livre représente une somme indispensable à la compréhension de ce que l’on appelle aujourd’hui et sans nuances, « les énergies renouvelables ». A acheter et à lire bien sûr, d’urgence.
Je vais l’acheter !
Comme il est dit justement la question de la sortie des énergies fossiles se pose « dans un contexte qui évolue sans cesse ». Ainsi pour la production de l’hydrogène : découverte en Lorraine d’un gisement massif d’hydrogène naturel ( qui en annonce a priori bien d’autre : répétition de l’histoire du pétrole’ : au début très peu d’endroits où il sort de lui-même, et, vu son intérêt, prospection et découverte de gisements un peu partout). Il y a aussi la prise conscience de l’intérêt immédiat de l’hydrogène dit « bleu » , bien avant celui qualifié de « vert ». Et quant à l’utilisation, le vecteur énergétique que constitue l’hydrogène est une alternative celui de l’électricité, et de plus il peut être produit de façon décentralisée ,dans un « aménagement du territoire » faisant la part belle à l’Environnement, « la Nature ».
Tout ceci pour renvoyer au projet de la SEPRA81 déposé dans le cadre du budget participatif de la région Occitanie: « Production d’hydrogène bleu, par piégeage chimique » ( en régie municipale) : il va être mis sur son site jimdo, mais peut être aussi consulté si l’on est abonné à la lettre d’information de la Région Occitanie.